dimanche 27 novembre 2011

Couleurs d’automne sur la Malmontagne et le Long Rocher

Randonnée du 5 novembre 2011.
La dernière fois que les randonneurs sont venus dans ce secteur, c’était le 9 juin 2010: Parfum d’été sur la Malmontagne, comme ça passe vite. C'est intéressant de comparer les deux billets.
 Evidemment les couleurs de la forêt ne sont pas les mêmes, les fougères sont passées d’un vert chlorophyllien à une teinte auburn, un roux tirant sur le brun, tandis que les feuillus se parent des derniers jaunes de l’automne avant de joncher le sable et de se froisser sous les pas des marcheurs. Et les Amanite-tue-mouche sont sortis de terre.  Nous voyons sur les images qu’il ne fait pas froid, les manches courtes sont acceptées, mais qu’au contraire de juin 2010, pas besoin de chapeau ou casquette pour se protéger du soleil. Après tout, ce genre de notation vestimentaire peut avoir son importance pour comparer d’une année sur l’autre les progrès (ou son absence) du réchauffement climatique. Photos (très redimensionnées) de Patrick Bouvier, comme l’an dernier.
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Que dire de plus sur la Malmontagne  par-rapport au billet précédent ? On peut dire que ce secteur fut l’une des première victime de la démocratisation de l’accès à la forêt  : le 15 juin 1850, dit la chronique, 25 hectares de forêt brûlent , à cause d’une négligence de fumeur. L’incendie est éteint par le régiment du 8è hussard secondé par des villageois. Ce jour-là, 1000 parisiens étaient descendus du premier “train de plaisir” en gare de Fontainebleau (toute neuve) qu’avait mise en place la compagnie du PLM. Et le tabac est considéré à l’époque comme une marque de bon goût…
Les sables brûlants  de la Malmontagne, par leur degré de pureté, ont aussi été extrait pour fabriquer du verre de première qualité: en mars  1640,  Antoine Cléricy, séduit par I'abondance  et la qualité  de cette matière première,  obtint du roi des lettres patentes qui I'autorisaient à établir  une verrerie au Montceau; cette manufacture, créée dès I'année suivante,  fonctionna  assez  longtemps, et était renommée  par Ia finesse de son cristal. Voilà, vous savez pourquoi ce monsieur possède une rue à son nom dans Avon. Ce fameux sable de Fontainebleau fut très recherché et exporté  jusqu'en  Italie, en Belgique et en Angleterre.
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mardi 22 novembre 2011

Photos: autour de Longueville et rotonde ferroviaire

Randonnée nord Seine-et-Marne. Autour de Longueville, le samedi 12 novembre.
Église Saint-Edmé de Soisy Bouy




 Étonnantes toiles d'araignée au-milieu des champs qui barrent la route aux randonneurs.La photo a malheureusement du mal à rendre ce phénomène...

toiles d'araignée

A la fin de la randonnée, visite de la rotonde ferroviaire de Longueville qui abrite maintenant un musée ferroviaire où l'association AJECTA restaure d'anciens wagons.
Centenaire de la rotonde de Longueville sur Youtube.
Le salut des randonneuses/eur.

Patrimoine de la SNCF

Musée du chemin de fer

jeudi 17 novembre 2011

Randonnées d'automne en Essonne: le 1er novembre

Randonnée de groupe.
La seconde randonnée au départ de La Ferté-Alais (les fertois) a lieu deux jours plus tard. Direction plus au sud vers Cerny (les cernois). Puis c'est la traversée de D'Huison-Longueville ( les huissonnais-longuevillois)
celle de Boissy-le-Cutté (les Boissillons) dans l'ancienne Seine-et-Oise, pays très pittoresque, curieux à visiter, une superbe roche dans le bois, comme il était écrit sur une ancienne carte postale. Et enfin retour dans la ville des fertois. Le diaporama: 

Randonnées d'automne 2011


Deux randonnées dans le parc naturel régional du Gâtinais français, départ La Ferté-Alais.
La première rando, samedi 29 octobre, suit la rivière Essonne en direction du nord. Nous verrons les randonneurs longer une ancienne carrière, puis traverser les bois de la Beaulne et du Gland. Arrivés à Mondeville (les mondevillais), ils franchissent une platière et le chaos des roches aux Dames.
Ils admirent les étangs de Boigny, créés par la main de l'homme et leurs cabanes de pêcheurs. Un jeune pêcheur y a  pêché une carpe de 14 kgs le 14 janvier 2009 (source).

Plus tard, après bien des chemins, ils arrivent devant une ancienne chapelle qui fut habitée par les templiers: la chapelle Saint Blaise.
Chapelle Saint-Blaise à Ballancourt
 Érigée au début du XIIè siècle à l'instigation de Thierry de Galeran, propriétaire des lieux, au profit de l'abbaye de Morigny (Etampes) en même temps que l'église de la Ferté-Aleps, elle fut rétrocédée en 1159 à l'ordre des Chevaliers du Temple à la demande de Thierry de Galeran et grâce à l'intercession du roi Louis VII le Jeune.
Après la dissolution de l'ordre des Templiers en 1312 par le pape Clément V à l'instigation de Philippe IV Le Bel, les biens immobiliers (terres, chapelles, ferme, maison etc...) sont dévolus à l'ordre des Hospitaliers
de Saint Jérusalem qui l'érigeront en Commanderie à partir de 1356.
De cette date à la Révolution Française, 37 Commandeurs vont se succéder au Saussay avant la vente de l'ensemble comme bien national en 1793 au général Canclaux, commandant de l'Armée de l'Ouest et propriétaire du Château de Saussay.
De 1802 à 1806, il fera entreprendre la destruction des bâtiments à l'exception du choeur de la chapelle
qui a subi depuis l'épreuve du temps, de la végétation et du vandalisme. Ballancourt, 1996.

Puis c'est Ballancourt (les ballancourtois) et le château de Saussay. Ils s'arrêtent devant l'entrée, prennent quelques photos et repartent dans les couleurs de l'automne en bordure du parc. Et c'est le retour.

Nous voyons sur le diaporama quelques beaux fronts de taille, voici un intéressant panneau qui retrace l'exploitation du grès dans notre région, cliquer évidemment sur l'image pour bien lire (Ctrl + clic gauche pour ouvrir l'image dans un onglet).


lundi 7 novembre 2011

Chasse en forêt de Fontainebleau 2011-2012

Informations.


Cliquez ici pour activer l'affichage dynamique.
En forêt de Fontainebleau, la chasse est ouverte depuis le lundi 7 novembre en cette année 2011 et jusqu'au 27 février 2012. Une saison plus courte que dans les champs car la forêt est très visitée.
L'ONF a publié un dépliant avec les zones de chasse et des recommandations. 
Quels sont les jours concernés ? 
LUNDI   JEUDI  VENDREDI
cliquer pour agrandir




Quelles sont les zones concernées ? Euh...toute la forêt. Sauf qu'au milieu, ce sont les agents de l'état, et autour, des particuliers, des vrais chasseurs. Voir la carte, qui est la même que les années précédentes. 


Pourquoi chasse-t-on ? Citation: 
Les  forêts  domaniales  abritent  une  grande  faune  riche  et  diversifiée.  Celle  de Fontainebleau  compte    3  types  de  grands  animaux  qui  participent  à  la  vie  de l’écosystème  :  cerfs,  chevreuils  et  sangliers.  De  nombreux  indices  révèlent  leur présence,  comme  les  bouttis  de  sangliers  (sol  retourné  pour  y  extraire  de  la nourriture) ou encore les abroutissements des grands cervidés (consommation des jeunes pousses des arbres). Ainsi, une forte densité peut entraîner, sans régulation, de graves dommages aux jeunes plants forestiers et à la biodiversité. Elle peut également mettre en danger la sécurité des abords routiers.
En l’absence de prédateurs naturels, seule une chasse raisonnée et bien encadrée par  l’ONF  (respect  des  règles  de  sécurité  et  contrôles)  permet  de  réguler  la grande faune et d’assurer la pérennité de la forêt pour les générations futures. Le nombre  d’animaux  à  prélever  chaque  année  est  défini  à  l’avance  par  un  plan  de chasse arrêté par le Préfet.
  
Instructive anecdote historique: la forêt grillagée.
 On la trouve dans l'ouvrage de Paul Domet, Histoire de la forêt de Fontainebleau (1875). Vers 1855, l'espace forestier n'était pas aussi ouvert qu'aujourd'hui car on craignait beaucoup les dégâts causés par les animaux de la forêt. En effet, pour se nourrir, les gens avaient besoin des produits de leur culture. Aussi les villages étaient très protégés: 
p.40-41  «0n voulut, il y  a quelques  années, rétablir la vieille enceinte de la forêt de Bière, et sur toute cette ligne, élever une barrière contre  le gibier, dont il fallait payer fort cher les dégâts commis sur les terres limitrophes; on commença  en 1855.  
 Fontainebleau se trouvait défendu par ses maisons,  les murs de ses jardins, et celui dont les propriétaires riverains, réunis en syndicat, avaient entouré, sous la Restauration, les plaines de Ia Chambre et du Roussillon. Le Conseil  municipal de Samois s'engagea,  en octobre 1855 à relever et entretenir les murs qui protégeaient le territoire, moyennant une subvention de la liste civile.
A Veneux-Nadon (l'ancien nom de Veneux-les-sablons), ceux qui existaient encore furent cédés à l'administration, en 1857, à charge pour celle-ci de les entretenir. L'ensemble de ces deux dernières murailles présente un développement de sept kilomètres. Partout ailleurs, sauf dans la partie garantie par le chemin de fer du Bourbonnais, on mit des treillages, d'une longueur totale d'environ cinquante-sept kilomètres. Ils furent, en général, placés de l'autre coté des bornes de manière à ce que celles-ci se trouvassent en dedans; cependant, sur certains points, les voisins ayant fait des difficultés, on établit la palissade, soit à cheval sur les bornes, comme vers Bois-le-roi, soit même de ce coté-ci, comme vers Chailly, les laissant alors complètement en dehors; enfin, dans d'autres endroits, vers la Rochette et Villiers-en-Bière, par-exemple, où la ligne de séparation était trop sinueuse, on ne la suivit pas, et on se reporta dans l'intérieur de la forêt. Ces travaux furent terminés en 1857, employèrent environ 3000 m³ de bois, et coûtèrent plus de 57 000 francs.
Les officiers de la vénerie ne tardèrent pas à se plaindre qu'il était ainsi mis obstacle aux chasses à courre; d'un autre coté, les fauves, ne pouvant plus se nourrir sur les terres des particuliers, causèrent des dommages d'autant plus considérables aux jeunes bois de la forêt. Dépense pour dépense, on préféra celle qui se soldait en indemnités pécuniaires, et, en 1862, on désentreillagea vis-a-vis des territoires de Saint-Martin, Arbonne, Noisy et d'une partie de ceux de Chailly, Achères et Ury. Mais des réclamations sans nombre s'élevèrent immédiatement de toutes parts, et dès 1864, les habitants de Saint-Martin entourèrent, eux-mêmes, leurs terres, à un mètre environ du domaine, d'une palissade en fils de fer soutenus par des piliers de maçonnerie; 
...enfin, au commencement de 1870, l'administration finit elle-même par relever les treillages sur la partie de la ligne qui était encore ouverte, et le tout se trouva se trouva entouré comme en 1857. Aucune réparation n'a été faite, depuis 1870, à ces clôtures extérieures, maintenant en fort mauvais état. »
Voilà une intéressante remise en perspective historique, une évasion vers un passé pas si lointain. De nos jours, ce sont les axes routiers qui forment une barrière. Comme nous l'expliquions dans notre billet de l'an dernier sur la chasse qui complétera celui-ci: http://falrc2.blogspot.com/2010/10/la-chasse-en-seine-et-marne-en-2010.html

jeudi 3 novembre 2011

Voyage dans le passé à Guédelon

Voyages


La sortie n'était pas au programme. C'était fin septembre. L'animateur du Fal rando s'est rendu dans l'Yonne, à coté de Treigny avec quelques amis. Un voyage dans le passé où des passionnés se sont engagés sur vingt-cinq ans. Reconstruire un château-fort, à notre époque, dans les conditions du moyen-âge. Un chantier expérimental. Un nombre incroyable d'intervenants et de professions, intellectuelles et manuelles, voici une liste non-exhaustive: historiens, architectes, ethnographes, archéologues, maître d’œuvre, tailleurs de pierre, carriers, forgerons, bûcheron, vannier, cordier, tuilliers...Tous ces gens travaillent sous le contrôle d'un comité scientifique qui valide ou rejette les choix de construction et qui se basent sur le modèle du château philipien, fortifications qui ont remplacé les buttes à palissades. Ils ont analysés des dizaines de châteaux, des iconographies, des enluminures et des vitraux...
Cliquer pour agrandir

Chaque jour du printemps, de l'été et de l'automne, les œuvriers arrivent sur le chantier en sachant que bâtir le château fort de Guédelon est bien plus qu'un travail; c'est un état d'esprit, celui d'apprendre au fur et à mesure de l'évolution de la construction et produire en sachant que pour être au plus près d'une construction médiévale crédible, il faut parfois désapprendre, démonter , recommencer, douter, pour sentir enfin qu'on est sur le bon chemin. Le maître d’ouvrage et le maître d’œuvre savent qu’à chaque tranche vont surgir des problèmes inédits. C'est même l'intérêt d'un tel ouvrage (....) 

Nous souhaitons que chaque visiteur se souvienne, après sa visite, de ce parfum unique, mélange de bois vert équarri, de terre mélangée, de métal chauffé, des bruits rythmés des pointerolles sur la pierre, du fer sur l'enclume, de la doloire sur le bois et du spectacle des œuvriers qui extraient, taillent, maçonnent, forgent, abattent, équarrissent, scient, fendent, battent, moulent afin de partager leur aventure.

Ouf ! Très nombreuses photos, rarement un chantier aura été autant scruté. Et on a l'intention d'y retourner, mais pas avant le printemps, car le chantier est fermé à partir de novembre. Évidemment: pour les images, cliquer dessus pour les agrandir (CTRL + clic gauche pour ouvrir l'image en grand dans un nouvel onglet.)




mardi 1 novembre 2011

Fontainebleau, Chapelle Notre-Dame de Bon Secours

Page d’histoire.

Chapelle ND (1) (Copier)Chapelle ND (2) (Copier)
Nous rencontrons la chapelle à la fin de la randonnée du 2 octobre 2011.
Ceux qui entrent ou sortent de Fontainebleau passent à coté d’elle tous les jours, sans doute en n’y prêtant même plus attention: La Chapelle du Bon-secours, classée monument historique (et en très mauvais état, voir à la fin du billet), au bord de la route de Melun, ou côte de la Croix d'Augas, ou, plus moderne, à l'intersection du boulevard du Maréchal Foch et de la route de Notre-Dame-de-Bon-Secours, départementale 606. Coordonnées GPS: 5362,9-478,4 .
En regardant sur Google Street view,  vous verrez l'intersection à la fois en hiver et au printemps, on passe des  branches dénudées au vert des feuillages:
Fontainebleau,Oratoire-Google Maps  (1)Fontainebleau,Oratoire-Google Maps  (2)
Racontons son histoire:
Elle doit son origine à un fait miraculeux qui a été raconté par bien des auteurs, notamment Paul Domet:
A la fin de novembre 1661, le sieur Dauberon, gentilhomme ordinaire de monsieur le prince Louis de Bourbon, le grand Condé, et capitaine dans son régiment, venait rejoindre la cour à Fontainebleau. Il fut renversé par son cheval, vers la croix d'Augas, sur le grand chemin de Melun, et une de ses jambes étant restée accrochée à l'étrier, il fut traîné sur les cailloux tout le long de la descente. Au-milieu du danger qu'il courait, il invoqua la Sainte-Vierge, envers laquelle il avait toujours eu une dévotion particulière; aussitôt, son cheval s'arrêta court, et il put se relever sans avoir été blessé.
Le 3 mai suivant, pour perpétuer la mémoire de cet évènement, Dauberon fit bénir une image de la Vierge, que le sieur Durand, premier curé de la paroisse de Fontainebleau, alla poser processionnellement, sur un chêne, à l'endroit où l'animal s'était arrêté; il joignit à cette statuette un récit authentique écrit en latin, sur parchemin, de ce qui s'était passé. En 1690, l'arbre étant tombé en vétusté, un sieur Grenet, prêtre de l'église de Fontainebleau, fît bâtir, de ses propres deniers, un petit oratoire, dédié à Notre-Dame-de-Bon-Secours, et sur le frontispice duquel fut représentée l'histoire de Dauberon. Mais il existe aussi un acte authentique portant les noms d’officiers du roi et divers bourgeois ayant pris part à une souscription.

Cet oratoire, vénéré des habitants du pays, fut, bien entendu, détruit à la Révolution. Après la Restauration, madame la duchesse d'Angoulême, lors de son premier voyage à Fontainebleau, vient s'agenouiller sur la place où avait été la chapelle, et témoigna le désir de voir celle-ci réédifiée. M. Philipeau, curé de la ville, se mit à la tête de l'entreprise; les souscriptions affluèrent de toute part; sur les anciennes fondations, un nouveau bâtiment, qui subsiste encore maintenant, s'éleva bientôt, d'après les plans de M.Heurtaut, architecte du palais; le miracle fut retracé, non plus sur le frontispice, mais au plafond, par le pinceau du peintre Blondel. Cet oratoire fut béni le 30 septembre 1821, devant les autorités civiles et militaires, en grand costume, et une multitude de fidèles. En 1864, Napoléon III fit faire des restaurations importantes à ce monument. Le clergé de la paroisse s'y rend processionnellement, chaque année, le premier dimanche d'octobre. P.353
Dauberon sauvéNotre-Dame de Bon SecoursNotre-Dame de Bon Secours (2)
Et, ce premier dimanche d’octobre 2011, la pancarte posée sur la grille de la chapelle fait toujours appel à la générosité des donateurs. On découvre ainsi une nouvelle association tournant autour de la forêt de Fontainebleau: l’ ANDBS, Association des amis de Notre-Dame de Bon Secours et des madones de la forêt de Fontainebleau, dont le but est «la sauvegarde, l'entretien de la chapelle Notre-Dame de Bon Secours, le développement des Madones de la forêt, des oratoires et autres lieux de dévotion, ainsi que de la ferveur chrétienne. »
En cliquant sur les images pour les agrandir on peut lire les messages dont voici un extrait:
La chapelle de la Bonne Dame est dans un état
critique. Les Pouvoirs Publics (intérieur et agriculture)
veulent bien transférer le monument à la collectivité
locale (ville de Fontainebleau) mais sous condition
d'achat du terrain, à un prix ...........déraisonnable!
Pèlerinage des madones.ANDBS

Mise à jour 23 octobre 2012: article paru dans la République de Seine-et-Marne du 22 octobre.
la rénovation pourra se faire


Espérons que l'oratoire dédié à la Sainte-Vierge porte chance aux automobilistes sur ce carrefour accidentogène. Ainsi qu'aux randonneurs : l'endroit a été repéré par le Club Alpin Français comme un point dangereux en 2007, je cite:
Constatation: Passages piétons non matérialisés sur les chaussées au nord du carrefour (traversée normale des randonneurs vers la gare) . Proposition: Bandes blanches à peindre sur les chaussées nord du carrefour (existent au sud) . (Source: annexe 21, p.137 du rapport Vers un parc national). Voilà, c’était une brève histoire du passé et du présent de ce monument du bord de la route.